Depuis le début de la crise centrafricaine, il ne se passe pas un jour sans que des voix s’élèvent pour décrier la méthode peu orthodoxe des enturbannés. En réalité, il y’a des signes qui ne trompent jamais et il suffit d’observer le vécu quotidien des centrafricains pour attester que les enturbannés n’ont pas changé d’un iota leurs modes opératoires depuis l’avènement de la crise jusqu’à nos jours. De plus en plus des Centrafricains s’interrogent à haute et intelligible voix sur le changement brutal du 24 Mars 2013. Certains veulent comprendre le but réel du coup de force si la population doit subir par la suite les attrayantes atrocités de la vie. D’autres se questionnent sur l’intention réelle des enturbannés et estiment que le pays est dans un bourbier qui risquerait de l’engloutir. En tout état de cause, la solution ne réside ni dans un perpétuel recours en arrière ni un regard spontané dans le rétroviseur. Certes, « Une vie sans recours sur soi-même ne vaut pas la peine d’être vécue »dixit un penseur…
Néanmoins, la réalité quotidienne de la Centrafrique ressemble à une course contre la montre…Il serait important de décrier avec sobriété la dépravation des mœurs, la paupérisation avancée de la population, la désacralisation des symboles religieux et autres méfaits dont la Centrafrique est victime. Pendant que le pays se trouve dans une insalubrité qui a atteint son paroxysme, sous les décombres jonchent encore les effets anodins de certaines personnalités, la population semble s’habituer aux tirs sporadiques des enturbannés qui se normalisent au fil de temps et le Chef de la junte au pouvoir continue de se terrer à l’Hôtel Ledger. Quasiment tous les Hôpitaux ont dépassé leurs capacités de soins, d’accueils, de réceptions et d’hospitalisations. Les médecins sont épuisés et dépassés devant l’ampleur des dégâts corporels. On dénombre un nombre important de la gente féminine et masculine impotente et invalide.
En revanche, les enturbannés font des pillages leurs professions primordiales et ils utilisent les petits voleurs à l’étalage comme un bouc émissaire pour redorer leurs blasons. Alors que les enturbannés n’arrivent pas à rétablir la sécurité sur toute l’étendue du territoire, les braquages refont surface et la situation devient de plus en plus alarmante. On se demande si réellement le Chef de la Junte pourra venir un jour à bout du rebelle ougandais Joseph KONI comme il le prétendait. Déjà, il doit faire face aux défis de la sécurité, de l’économie, de la cohésion sociale etc…L’historicité de la Centrafrique révèle que les fils et les filles du pays ont toujours vécu dans une harmonie bien qu’ils soient d’obédiences différentes. L’unité dans la diversité a été toujours le maître mot des Centrafricains.
Nul n’est censé ignorer que les Centrafricains d’obédiences musulmanes ont occupé des hautes fonctions de l’état sans une contestation quelconque de la Centrafrique profonde. A contrario, la prise de position actuelle de plusieurs centrafricains vis-à-vis des enturbannés n’est point synonyme de xénophobie mais plutôt de protectionnisme pour la simple raison que les modes opératoires de la junte au pouvoir s’apparentent à ceux des islamistes rampants voire radicaux. Une chose est sûre, cette crise a non seulement renforcé la cohésion sociale mais conscientisé également tous les Centrafricains sur les dangers que le pays risque d’encourir. Il est peut être grand temps que les Centrafricains disparaissent de leurs vocables, la solitude, le positionnement, les crocs-en-jambes, la guerre d’égo, la surenchère, l’esbroufe s’ils veulent réellement mettre fin à la présence des enturbannés et par ricochet les islamistes radicaux.
Néanmoins, la réalité quotidienne de la Centrafrique ressemble à une course contre la montre…Il serait important de décrier avec sobriété la dépravation des mœurs, la paupérisation avancée de la population, la désacralisation des symboles religieux et autres méfaits dont la Centrafrique est victime. Pendant que le pays se trouve dans une insalubrité qui a atteint son paroxysme, sous les décombres jonchent encore les effets anodins de certaines personnalités, la population semble s’habituer aux tirs sporadiques des enturbannés qui se normalisent au fil de temps et le Chef de la junte au pouvoir continue de se terrer à l’Hôtel Ledger. Quasiment tous les Hôpitaux ont dépassé leurs capacités de soins, d’accueils, de réceptions et d’hospitalisations. Les médecins sont épuisés et dépassés devant l’ampleur des dégâts corporels. On dénombre un nombre important de la gente féminine et masculine impotente et invalide.
En revanche, les enturbannés font des pillages leurs professions primordiales et ils utilisent les petits voleurs à l’étalage comme un bouc émissaire pour redorer leurs blasons. Alors que les enturbannés n’arrivent pas à rétablir la sécurité sur toute l’étendue du territoire, les braquages refont surface et la situation devient de plus en plus alarmante. On se demande si réellement le Chef de la Junte pourra venir un jour à bout du rebelle ougandais Joseph KONI comme il le prétendait. Déjà, il doit faire face aux défis de la sécurité, de l’économie, de la cohésion sociale etc…L’historicité de la Centrafrique révèle que les fils et les filles du pays ont toujours vécu dans une harmonie bien qu’ils soient d’obédiences différentes. L’unité dans la diversité a été toujours le maître mot des Centrafricains.
Nul n’est censé ignorer que les Centrafricains d’obédiences musulmanes ont occupé des hautes fonctions de l’état sans une contestation quelconque de la Centrafrique profonde. A contrario, la prise de position actuelle de plusieurs centrafricains vis-à-vis des enturbannés n’est point synonyme de xénophobie mais plutôt de protectionnisme pour la simple raison que les modes opératoires de la junte au pouvoir s’apparentent à ceux des islamistes rampants voire radicaux. Une chose est sûre, cette crise a non seulement renforcé la cohésion sociale mais conscientisé également tous les Centrafricains sur les dangers que le pays risque d’encourir. Il est peut être grand temps que les Centrafricains disparaissent de leurs vocables, la solitude, le positionnement, les crocs-en-jambes, la guerre d’égo, la surenchère, l’esbroufe s’ils veulent réellement mettre fin à la présence des enturbannés et par ricochet les islamistes radicaux.
Rodrigue Joseph Prudence MAYTE